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L'ULIF aurait-elle peur de la DRAC ?

De leur propre aveu, Jean-François Bensahel et le CA de l'ULIF sont censés protéger l'héritage de la communauté. Afin qu’ils prennent enfin acte de cette responsabilité, l'APPC a sollicité l'intervention de la DRAC (Direction régionale des Affaires Culturelles) – instance décisionnelle en la matière – pour évaluer la valeur patrimoniale de la synagogue Copernic.


À cette demande, l'ULIF vient d’opposer une fin de non-recevoir : ses administrateurs refusent de laisser pénétrer dans les lieux les représentants de la DRAC, arguant que la synagogue relève de la propriété privée. L'argument est fallacieux : l'on sait que le patrimoine représente une valeur universelle. Par conséquent, l’on estime que les propriétaires – fussent-ils des États souverains – ne sont pas libres de détruire les monuments ou les sites dont ils sont les dépositaires.


Bref, il semblerait que le Conseil d’administration de l'ULIF a peur que les agents de l'État puissent découvrir son intention de raser intégralement un édifice d'une grande valeur culturelle et, ainsi, d'en priver les générations futures.

le 15 octobre 2017

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